Fingerpicking, fingerstyle, flatpicking, hybrid picking, chicken picking… De nombreux guitaristes s’emmêlent les pinceaux dans tous ces termes. Il semble même qu’un débat sans fin existe sur le Web pour définir et différencier clairement le Fingerpicking et le Fingerstyle.
Je suis bien conscient que personne n’a la science infuse et que la signification des mots peut changer au fil de l’évolution des techniques. Je vais donc vous donner dans cet article ma vision personnelle du Fingerpicking, qui à mon avis représente non pas seulement une technique, mais bel et bien un style à part entière porté par des guitaristes célèbres comme Merle Travis ou Marcel Dadi.
Nous verrons ensuite les différences avec les autres techniques de jeu énoncées au début de cette intro, puis nous entrerons en détail sur la façon d’apprendre le Fingerpicking à la guitare, avec des conseils pratiques et quelques exercices pour bien vous lancer.
Mais, afin de clarifier tout de suite l’ensemble de ce guide, je vais commencer par expliciter ce que signifient selon moi les termes Fingerstyle et Fingerpicking.
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Qu’est-ce que le fingerstyle ?
Le fingerstyle est une technique de jeu qui consiste à gratter les cordes de votre guitare avec les doigts de la main droite, sans médiator, peu importe le style musical ou les patterns utilisés.
Le fingerstyle est souvent appelé « jeu en arpèges » en France. Personnellement, je préfère utiliser l’anglicisme « jouer en fingerstyle », car le terme « arpège » peut lui aussi être source de confusion en guitare, car il fait également référence au fait de jouer les notes d’un accord en positions, à la manière d’une gamme. Par ailleurs, il est tout à fait possible de jouer en arpèges avec un médiator.
Depuis une dizaine d’années, un nouveau style musical s’est cependant accaparé le terme fingerstyle, ce qui a mené à un certain flou artistique quant au sens originel du mot. Il s’agit de cette génération de guitaristes virtuoses qui mélangent habilement jeu au doigt, arrangements à plusieurs voix, tapping et percussions sur guitare folk.
Nous utiliserons ici le terme fingerstyle dans sa signification originale : une technique de main droite, pas un style musical.
Qu’est-ce que le Fingerpicking à la guitare ?
Définition du Fingerpicking à la guitare
Le Fingerpicking est un style musical à part entière, basé principalement sur un mouvement de basses alternées et légèrement étouffées jouées au pouce, couplé à une mélodie grattée par les autres doigts de la main droite. Il est également courant d’y ajouter des dead notes pour apporter un effet percussif similaire à une caisse claire, et éventuellement des accords plaqués.
Il demande donc une bonne maîtrise technique, notamment en ce qui concerne l’indépendance de chaque doigt de la main droite.
À noter : Le Fingerpicking ne se joue pas uniquement en pur fingerstyle. L’usage d’un onglet sur le pouce de la main gauche y est assez répandu, afin de renforcer le son des basses.
Quelle est la différence entre fingerstyle, flatpicking et hybrid picking ?
Si on rentre un peu plus dans le détail des techniques de grattage des cordes, il existe trois grandes familles de picking à la guitare :
- Le fingerstyle : les cordes sont jouées avec les doigts de la main droite
- Le flatpicking : les cordes sont grattées avec un médiator
- L’hybrid picking, ou chicken picking : les cordes sont jouées avec le médiator ainsi que le majeur, l’annulaire et parfois même le petit doigt de la main droite
La différence entre ces trois techniques se trouve dans l’accessoire utilisé ou non pour gratter les cordes, et en conséquence dans l’accessibilité aux notes. Impossible par exemple de gratter en même temps deux cordes non consécutives en flatpicking, et donc de jouer du fingerpicking avec cette technique.
La confusion commune entre fingerpicking et fingerstyle vient probablement du nom des deux autres techniques, qui finissent par le terme picking. Mais alors, puisqu’il s’agit d’un style à part entière, d’où vient le fingerpicking ? Quelle est son origine ? Voyons cela de plus près.
D’où vient le fingerpicking ?
Le Fingerpicking a vu le jour au début du XXème siècle, parmi les nombreux sous-genres du Blues, de la Folk et de la Country apparus avec la démocratisation de la guitare dans le sud des États-Unis.
L’idée de base de ce style était a priori de reproduire seul à la gratte les mouvements de basses habituellement joués par le piano ou la contrebasse dans les orchestres de ragtime et de musique traditionnelle des Appalaches (aujourd’hui appelée Old-Time).
Rapidement adopté par les guitaristes de Country, le Fingerpicking s’est fortement développé chez les musiciens gravitant autour de Memphis comme Chet Atkins ou Jerry Reed. L’un d’eux, Merle Travis, a même donné son nom à une variante célèbre du Fingerpicking : le Travis Picking.
En France, c’est Marcel Dadi qui a fait exploser la popularité de ce style dans les années 1970, avec son album La guitare à Dadi, qui devient disque d’or en 1973. S’ensuit la publication dans la foulée de La méthode de guitare à Dadi, qui reste aujourd’hui encore une référence en pédagogie francophone sur le Fingerpicking.
Explications techniques du Fingerpicking
Le principe des voix
Une des spécificités du Fingerpicking est son concept de jeu en plusieurs voix, à la manière d’un piano ou d’un orgue. Pour expliquer simplement le principe des voix, on peut le qualifier de mélodies croisées, qui donnent l’impression que plusieurs guitaristes jouent en même temps.
Le fonctionnement de la main droite : le cœur du Fingerpicking
La base technique du Fingerpicking est d’assigner chaque doigt de la main droite à un rôle précis, afin d’assurer la multiplication des voix et des effets :
- La ligne de basse est jouée avec le pouce sur les trois ou quatre cordes graves de la guitare, légèrement étouffées par la paume de la main droite. Un onglet peut être utilisé pour faire ressortir cette voix.
- La mélodie est jouée avec l’index, le majeur et l’annulaire, généralement sur les trois cordes aiguës.
- Une voix d’accompagnement peut être suggérée en plaquant ponctuellement les accords de la grille.
- Un effet rythmique percussif peut être ajouté en attaquant les cordes étouffées avec le pouce ou l’onglet, pour simuler le son d’une caisse claire de batterie.
Le fonctionnement de la main gauche
Il n’y a pas à proprement parler de technique spécifique au Fingerpicking à la main gauche. Néanmoins, ce style demande de développer une bonne dextérité et la capacité de décomposer mentalement les différentes voix du morceau afin de bien synchroniser les notes à appuyer sur votre manche.
Il faut également être capable de plaquer très rapidement les accords afin de les intégrer avec souplesse au milieu des phrases mélodiques ou de la ligne de basse sans les interrompre.
La synchronisation des mains
Voilà probablement l’étape la plus complexe à réaliser en Fingerpicking : synchroniser les multiples mouvements de chacune de vos deux mains.
Je vous partage une astuce pas très originale, mais diablement efficace pour réussir cette mission acrobatique : ralentir autant que nécessaire la vitesse d’exécution. Entraînez-vous à 60-80 BPM au début si besoin, et décomposez les mouvements un à un. Après un peu de pratique, vos doigts et votre cerveau auront pris l’habitude de ce type de mouvements complexes et l’apprentissage des morceaux se fera beaucoup plus rapidement.
Les accessoires utilisés en Fingerpicking
L’onglet
Un onglet est un petit médiator qui s’enfile à la manière d’une bague autour du pouce. Il permet d’attaquer les cordes plus fortement et plus perpendiculairement qu’au doigt, ce qui fait mieux ressortir les basses et leur donne un son plus claquant.
Le médiator
Rappelez-vous ce que je vous expliquais au début de cet article : le Fingerpicking ne se cantonne pas au fingerstyle. Il peut donc être joué :
- Uniquement aux doigts (en fingerstyle) : pouce, index, majeur, annulaire
- Avec un onglet placé sur le pouce, plus l’index, le majeur et l’annulaire
- Avec un médiator tenu par le pouce et l’index pour jouer les basses, plus le majeur, l’annulaire et parfois même le petit doigt pour jouer les mélodies (hybrid picking, également appelé chicken picking)
Certains guitaristes utilisent donc bel et bien un médiator pour jouer leurs morceaux de Fingerpicking.
Le capodastre
Comme pour beaucoup de styles utilisant fréquemment les cordes à vide, il est courant de recourir à un capodastre traditionnel ou un capo partiel pour changer facilement les tonalités des morceaux et des arrangements en Fingerpicking.
Exercices et conseils pour débuter en Fingerpicking
Plan de travail pour progresser dans ce style
Vous l’aurez compris, il est indispensable de développer la dextérité et l’indépendance de chaque doigt ainsi que la synchronisation des deux mains pour apprendre le Fingerpicking à la guitare.
Vous trouverez ci-dessous un petit parcours d’exercices pour vous mettre le pied à l’étrier. Libre à vous ensuite de construire vos propres exos pour pousser ces concepts encore plus loin.
Comme je l’ai déjà dit précédemment, le plus important au début – et lors de chaque nouvelle étape technique qui augmente la difficulté – est de jouer très lentement et de décomposer chaque changement de note.
Voici une petite astuce qui fonctionne très bien pour moi lorsque j’ai du mal à caler proprement mes mélodies, autrement dit à synchroniser les notes jouées par chacune de mes mains : jouer une des voix, et chantonner l’autre. Par exemple, je ne joue que la ligne de basse pendant que je fredonne la mélodie. Ou, au contraire, je chante les basses pendant que je joue les phrasés mélodiques.
Cela permet à mon cerveau de mieux décomposer et assimiler les timings et la technique : quelles notes de chaque voix tombent en même temps, quels doigtés utiliser pour chaque main, etc.
Dernier conseil : comme d’habitude, n’hésitez pas à utiliser un métronome afin d’assurer un calage rythmique propre et pour vous obliger à jouer lentement.
Exercices
Exercice 1 : la base
Ce premier exercice a pour but de vous familiariser avec le principe des basses alternées et syncopées, et l’ajout en rythme de quelques notes mélodiques. Attention à bien placer les quatrième et dernière notes aiguës sur les contretemps.
Exercice 2 : mélodie en croches
On complexifie légèrement en ajoutant un accord et en créant une mélodie plus riche en croches. Certaines notes aiguës tombent donc sur les temps, en même temps que les basses, et d’autres sont placées sur les contretemps.
Exercice 3 : ajout des hammers et des pull-off
On passe au niveau technique supérieur en ajoutant des hammers et des pull-off dans la mélodie. Cela risque de désynchroniser vos mains au début, mais pas d’inquiétude, c’est tout à fait normal. Décomposez bien chaque mouvement au ralenti, puis augmentez le tempo progressivement.
On change d’accords en intégrant un Sol dans la grille harmonique, histoire de ne pas toujours utiliser les cordes à vide pour jouer les basses.
Exercice 4 : triolets et cordes multiples
Sur ce dernier exercice, on mixe tout ce qu’on a travaillé dans les exos précédents en complexifiant la rythmique avec l’ajout de triolets et en grattant parfois deux cordes aigües simultanément.
Morceaux et artistes populaires à écouter en Fingerpicking
Guitaristes de Fingerpicking traditionnel
Chet Atkins
Considéré comme l’un des fondateurs du Nashville Sound en Country, le jeu en Fingerpicking de Chet Atkins (dont il qualifiait le son de « Yakety ») a inspiré de nombreuses générations de guitaristes de tous styles, notamment Mark Knopfler (Dire Straits) ou Scotty Moore (accompagnateur d’Elvis Presley).
Voici sa fameuse performance télévisée de 1954 sur le morceau Mr Sandman :
Merle Travis
Introduit en 1977 au Country Music Hall of Fame, Merle Travis avait une façon assez particulière de jouer en Fingerpicking, puisqu’il n’utilisait que le pouce et l’index, ses trois autres doigts restant calés sur sa guitare. On voit nettement sa maîtrise de cette technique de main droite sur cet extrait vidéo de 1951 :
Marcel Dadi
Maître incontesté du Fingerpicking en France dans les années 1970, Marcel Dadi est un guitariste français qui a même été reconnu parmi ses pairs américains. On le voit ici en toute décontraction lors d’une performance devant le public de Nashville, probablement une des audiences les plus exigeantes du monde à cette époque concernant ce style :
Guitaristes de Fingerpicking moderne
Abordons maintenant le fameux courant guitaristique désormais appelé Fingerstyle, qui a amené la confusion actuelle entre les termes Fingerpicking, fingerstyle (le jeu au doigt) et Fingerstyle (le nouveau genre musical inspiré par le Fingerpicking).
Au final, il s’agit simplement selon moi d’une version extrêmement poussée techniquement et mélodiquement du Fingerpicking originel. Je vous laisse apprécier la richesse sonore apportée par l’ajout de tapping, d’effets type reverb et d’harmoniques naturelles et frappées.
Mike Dawes
Ce guitariste anglais, devenu le premier guitariste acoustique endorsé par la prestigieuse marque de micros DiMarzio en 2016, a percé sur YouTube avec ses superbes arrangements de morceaux Pop Rock. Le plus connu est probablement sa version de Somebody that I used to know de Gotye.
Voici un enregistrement live dans lequel il explique sa façon de construire un arrangement (pas d’inquiétude si vous ne comprenez pas bien l’anglais, il vous suffit de suivre l’évolution du morceau sur la guitare) :
Andy McKee
Voici un des grands pionniers du Fingerstyle, qui officie sur YouTube depuis plus de 15 ans et qui est produit par le label Candyrat Records. Il est particulièrement reconnu pour la finesse mélodique de ses compositions et de ses arrangements et pour le dosage subtil de ses rythmes percussifs.
Bien qu’il s’écarte fortement des bases du Fingerpicking, on retrouve tout de même l’assise de la ligne de basse régulière et le mélange des voies rythmiques et mélodiques :
Calum Graham
Véritable prodige de la six cordes, le Canadien Calum Graham est devenu à seulement 18 ans un des fers de lance du mouvement Fingerstyle. Ici aussi, on peut clairement observer le tournant du Fingerpicking en Fingerstyle : exit les steady basses alternées, le guitariste prend de grandes libertés dans l’assise rythmique, ce qui rend le morceau très aérien et l’affranchit totalement de l’ambiance Country.
On retrouve cependant l’esprit initial du Fingerpicking, à savoir une pièce solo combinant plusieurs voix mélodiques et rythmiques :
Les meilleures guitares Folk pour jouer dans le style picking
Soyons clairs : vous pouvez vous entraîner au Fingerpicking sur tout type de guitare. On trouve d’ailleurs des vidéos de Merle Travis ou d’autres guitaristes jouant ce style sur électrique.
Néanmoins, il est plus courant de jouer des morceaux de Fingerpicking sur une guitare Folk. Voici donc deux modèles que je vous conseille pour vous lancer :
La Yamaha F310 : pour débuter sans vous ruiner
Mon avis sur la Yamaha F310
La Yamaha F310 fait partie de mes guitares Folk préférées en entrée de gamme. Son prix ultra compétitif ne sacrifie pas la qualité de lutherie ni le confort de jeu. On lui reproche parfois le manque de caractère de sa sonorité, mais honnêtement à moins de 150 € je trouve le son et la tenue de l’accord de ce modèle plus que respectable.
Une guitare acoustique de très bonne facture et à tout petit prix pour faire vos premières armes en Fingerpicking !
A lire aussi : mon avis complet sur la Yamaha F310
La Applause Elite AE44-4S : l’électro acoustique au look Ovation
Mon avis sur la Applause Elite AE44-4S
Vous avez pu le constater sur la vidéo live de Marcel Dadi que je vous ai partagée plus haut dans cet article : les guitares Ovation font partie des références en Country, en Folk et en Fingerpicking depuis plus de 50 ans !
Avec un look racé et un très bon confort de jeu (dos rond, pan coupé), cette guitare a de quoi séduire tous les fingerpickers en herbe. Vous pouvez même vous brancher à un ampli et à des pédales d’effets (réverb, compression, etc.) pour agrémenter votre son ou expérimenter les sonorités du Fingerstyle moderne.
Vos questions
Quelle est la différence entre Fingerpicking et fingerstyle ?
En guitare, le terme fingerstyle identifie le jeu au doigt, par opposition au jeu au médiator ou en hybrid picking. Le sens du mot a toutefois dérivé ces dernières années, puisqu’il sert désormais de nom à un courant guitaristique à part entière.
Le Fingerpicking est un style musical caractérisé par l’utilisation de basses alternées couplées à une ligne mélodique, qui a fortement influencé la Country et la musique Folk dans la seconde moitié du XXème siècle.
Est-ce que le picking est un style de jeu ou un style de musique ?
Les deux mon capitaine ! À l’origine, picking veut simplement dire pincer, gratter une corde. Mais c’est également le diminutif de Fingerpicking, un genre basé sur une ligne de basses alternées et légèrement étouffées jouée au pouce en même temps qu’une phrase mélodique jouée à l’index, au majeur et à l’annulaire.
Est-ce difficile d’apprendre le Fingerpicking à la guitare ?
Le Fingerpicking demande un gros travail d’indépendance des doigts et de synchronisation des deux mains, qui peut être assez ardu dans un premier temps. Il est important de bien ralentir le tempo et de décomposer autant que nécessaire les phrasés, afin de laisser le temps à votre cerveau et à vos doigts d’assimiler les nombreuses informations techniques, mélodiques et rythmiques à maîtriser.
Conclusion
Que vous soyez fans de Country ou non, je vous conseille vivement de vous pencher sur l’étude du Fingerpicking. C’est en effet un excellent moyen de vous challenger techniquement et d’appréhender un ensemble musical complexe sur votre instrument.
Une fois que vous aurez acquis les principes propres à ce style, vous pourrez l’adapter à d’autres genres musicaux si vous le souhaitez, comme l’a fait Mark Knopfler en s’appropriant les bases du Fingerpicking pour les exploiter dans des compositions plus axées Rock et Blues Rock. Je pense notamment au riff indémodable de Money for Nothing, pourtant joué sur guitare électrique avec disto et Wha wha, dont la basse est indéniablement basée sur un gimmick de Fingerpicking.
Dites-moi dans les commentaires si cet article vous a aidé à vous lancer dans l’étude du Fingerpicking !
A lire pour aller plus loin : le guide complet pour apprendre la guitare folk
Hello Adrien, J’ai commencé le fingerpicking fin octobre (2023) à la faveur de la parution de la formation « Fingerpicking de A à Z » chez My Guitare.
Grand fan de Marcel Dadi depuis mon adolescence (j’ai eu l’occasion de l’applaudir à plusieurs reprises) je m’y mets enfin…(il était temps…) j’ai d’ailleurs pratiquement toutes ses publications papier et DVD sur l’apprentissage de cette façon de jouer.
Cet article devrait motiver quelques uns de tes lecteurs
Pour se lancer il y a aussi quelques formations « à pas cher » sur le site de Patrice Jania et aussi une ancienne méthode de François Sciortino parue dans le magazine Guitarist Acoustic HS #07 il y a quelques années déjà.
Avec un peu de bol on peut la trouver sur LBC, voire en ligne si on cherche bien…
Bonjour Adrien,
Merci pour ce résumé et ces découvertes de guitariste incroyables surtout Calum Graham, quelle musicalité !
Guitariste depuis les années 70 mais avec de très longues périodes d’arret, je m’y suis remis avec la retraite et comme Phil, je prends des cours sur MYGUITARE et je suis aussi le nouveau parcours Fingerpicking et ton article et les exercices en sont un bon prolongement.
Je joue sur une vieille ovation (collector 1984), à cause de Dadi bien sur, et c’est vraiment en fingerpicking qu’elle donne toutes ses qualités.
Bonne continuation à ta chaine.